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ÉPISODE 219 – CHRISTÈLE ALBARET, POUR UN POST-PARTUM DÉCOMPLEXÉ

“Comment ça va, toi ?”, la phrase qui peut tout changer…

Les mois qui suivent l’arrivée d’un bébé sont appelés “post-partum”. Et durant cette période parfois sombre, la lumière peut venir d’une phrase aussi brève qu’essentielle : “Comment ça va, toi ?”. Ces 4 mots, que nous rappelait Le Laboratoire Gallia dans l’une de ses campagnes de sensibilisation au post-partum, peuvent tout changer. Ils peuvent même participer à rendre le post-partum plus doux. Tout simplement parce qu’ils donnent de la valeur à celle ou à celui qui les reçoit. En fait, cette phrase devrait devenir automatique. Elle devrait même être adressée à tous les parents qui viennent d’accueillir un enfant. Car elle est déculpabilisante et elle leur ouvre les portes d’un post-partum décomplexé.

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Les conseils d’une experte santé pour préparer son post-partum

Alors pour anticiper au mieux ce bouleversement aussi excitant qu’épuisant, nous vous proposons d’écouter cet épisode spécial. Il a été enregistré en live à l’occasion du Bliss Festival, où nous recevions la psychosociologue la plus cool que l’on connaisse : Christèle Albaret. La fondatrice de la clinique e-santé vous partage son regard d’experte sur cette période à la durée “élastique” qui peut s’étirer sur de nombreuses années… Et croyez-nous, rien que de le savoir et de préparer son post-partum, ça change totalement la donne. 

L’importance de ne pas négliger ses émotions

Dans cet épisode, on va donc explorer ensemble ce moment si particulier de nos vies de parents. On va aussi souligner l’importance de ne pas négliger les émotions qui nous traversent. Puis Christèle vous dira combien la vulnérabilité fait aussi notre valeur, et enfin combien l’isolement des jeunes parents peut être déjoué. Comment ? Eh bien par la présence de celles et ceux qu’elle aime appeler les “bienveilleuses” et les “bienveilleurs”. Bref, Christèle va vous transmettre les bons mots et toutes les bonnes attentions à avoir envers soi et les autres pour traverser un post-partum décomplexé.  

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ÉPISODE 218 – ANNE LORIENT, ACCOUCHEUSE DE RUE

L’âpre réalité des femmes et mères SDF

 40% des sans domiciles fixes en France sont des femmes. Parmi elles, combien sont-elles à se terrer pour échapper à la violence quotidienne ? Combien d’entre elles deviennent des proies sexuelles et tombent enceintes de leur violeur ? Combien sont-elles à devoir ensuite accoucher, seules, dans la rue, ou à se voir retirer leur nouveau-né dès la maternité ? Elles sont trop, beaucoup trop. Car cette réalité sidérante est celle de  nombreuses femmes et mères SDF, invisibilisées mais pourtant bien présentes dans notre société.   

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Femmes et mères SDF : la vie de l’une d’elles

J’ai rencontré l’une d’elles. Elle s’appelle Anne Lorient. Ce nom, il est le sien depuis 6 ans, depuis qu’elle a écrit son livre, “Mes années barbares” pour raconter l’indicible et l’horreur de sa vie dans la rue pendant presque 20 ans, dont 3 à vivre dans le noir quasi total des sous-sols de La Défense, à Paris. Anne n’a été épargnée en rien et elle raconte tout : la nécessité de se cacher pour survivre et l’insécurité constante. Elle parle de son corps qui souffre. Un corps mutilé par les violences sexuelles imposées et répétées, un corps fragilisé par la dureté de la vie dehors et le manque d’hygiène évident. Il y a eu les fausses couches naturelles, mais aussi celles qu’elle s’est infligée. Et puis il y a eu cette grossesse, silencieuse durant 9 mois, et ce premier bébé, tombé du ciel, qui va la sauver… 

Anne Lorient et son rôle d’accoucheuse de rue

Dans cet épisode, Anne va vous raconter comment la maternité, son engagement dans la vie associative et la sororité autour de certaines rencontres l’ont portée et amenée à devenir ce qu’elle appelle une “accoucheuse de rue”. Désormais, c’est elle, rescapée des trottoirs, qui est la sauveuse et qui vient tenir la main à celles qui accouchent, et doivent devenir mères à ciel ouvert… 

Pour soutenir l’association Anne Lorient : https://www.helloasso.com/associations/association-anne-lorient, et suivre son actualité : Association Anne Lorient.

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ÉPISODE 217 – MARIE ROBERT, MATERNITY IS SEXY ?

S’intéresser davantage à la santé mentale de la femme enceinte

Quand on est enceinte, il est évidemment beaucoup question du corps, de tout ce qui est concret, visible, “palpable”, comme ce ventre qui prend de plus en plus de place. Mais il est moins question de notre tête et de ce qui s’y cache… comme nos doutes, nos angoisses, notre santé mentale et nos frissons métaphysiques, alors que l’on sait pourtant que ce concept de fabriquer une vie relève clairement de la sorcellerie…

Parler à la tête avant de parler au corps pendant la grossesse

Le jour où Marie apprend qu’elle est enceinte, elle vit son premier “vertige existentiel”. Elle, la philosophe, habituée à tout questionner, veut qu’on parle à sa tête avant de parler à son corps. Un corps en qui elle a entièrement confiance, parce qu’elle sait qu’il sait, alors que sa tête, elle, la plonge dans de profonds questionnements sur la mort depuis qu’en elle, la vie grandit… Marie, la cérébrale, a besoin de structurer ses peurs, mais elle se noie vite dans une sur-information qui, à défaut de l’apaiser, finit par déconstruire sa pensée. 

Alors quand ça arrive, on fait quoi de cet état émotionnel ingérable ? On le met sur “pause”? Pas si facile… Et quand on est prise dans la “machine médicale” qui priorise le corps à l’esprit, comment on réagit ?  Quelle place pour la santé mentale de la femme enceinte ?

Ne pas avoir peur de revoir ses plans

Dans cet épisode, la plus sexy des profs de philosophie va vous raconter comment l’expérience de la grossesse a bousculé ses codes, fragilisé ses certitudes et aboli ses croyances. Elle retracera cette grossesse prise de tête, sa douloureuse séquence finale et à quel point elle a dû pendant 9 mois, dompter son mental pour enfin accueillir son enfant dans la “tribu des vivants”. 

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ÉPISODE 216 – MIGUEL, MON BÉBÉ VENU D’UKRAINE

Devenir père quand on est un homme seul ?

Faire un bébé hors du couple est déjà un challenge en soi. Mais figurez vous que le désir d’enfant n’est pas l’apanage des femmes, et que les hommes, peuvent aussi ressentir cette envie viscérale de faire famille autrement, quelque part sur la Terre, même en étant célibataires.  

Devenir papa par GPA

Alors on fait comment dans ces cas-là ? On renonce ? Certainement pas. Au contraire, on ouvre son champ des possibles pour concevoir coûte que coûte, un enfant rêvé. Et c’est exactement ce qu’a fait Miguel, qui, après plusieurs tentatives pour construire sa famille avec un partenaire, s’engage à l’aube de ses 40 ans, dans la grande aventure de la GPA en solo, dans une Ukraine alors en paix. Mais Miguel était loin de s’imaginer que 2 jours seulement après l’annonce de grossesse de Daria, la mère porteuse, le pays tomberait dans le chaos, le laissant totalement livré à lui-même, avec une Daria en fuite, et une agence aux abonnés absents.  

Un papa, et une famille apaisée

Dans cet épisode, Miguel va dérouler avec beaucoup d’émotion, le fil de sa trajectoire de père. Vous allez comprendre comment une situation géopolitique inédite va rebattre les cartes d’un parcours qui semblait pourtant tout tracé, et unir son destin à celui de cette jeune mère qui a porté son bébé dans un pays en guerre. Il vous racontera comment la révélation de son homosexualité, va finalement permettre à son bébé de venir au monde sur un territoire sécurisé, mais aussi comment cet enfant a fait bouger les lignes de toute sa famille, et apaisé un grand-père à priori réfractaire. C’est le genre d’histoire qui donne un bon gros shoot d’espoir, celui capable de vous booster, même dans les situations les plus compliquées.  

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ÉPISODE 215 – MURIEL, CHLOÉ, ALIZÉE, TOUTES POUR UNE

Parce qu’être amies, c’est aussi accompagner le deuil périnatal

Chloé, Alizée et Muriel sont de celles qui partagent une amitié de longue date, solide, riche, solidaire et bienveillante. Alors quand arrive l’âge de devenir mamans, elles le vivent ensemble, quasi simultanément, en étant là les unes pour les autres, évidemment, et se promettant de continuer sur cette belle lancée, en enchainant les bébés.  

Ce qu’elles n’avaient pas prévu, et que personne ne peut prévoir, c’est de devoir être là le jour où tout bascule. Le jour où l’une des mousquetaires est pulvérisée vers le deuil périnatal, comment le vivent les autres ? Comment accompagner l’insoutenable deuil périnatal et absorber la douleur de son amie chérie ? Quels mots trouver, quelle attitude adopter pour apporter un réconfort qui semble vain, mais qui est pourtant crucial ?  

Pour le meilleur, et pour le pire

Parce qu’on a beau être amies à la vie à la mort, parce qu’on a beau être sœurs de cœur, BFF ou former un trio inséparable, l’amour amical a cela de spécial qu’il n’est pas inconditionnel. Non, cet amour là est soumis aux nombreux aléas de la vie, et sa fragilité n’a d’égal que sa préciosité. Surtout avec les anciennes, ces amies qu’on rencontre à un âge où tout est encore possible et où nos chemins auraient mille occasions de se séparer. Ces amitiés là, quand elles durent dans le temps, souvent, elles sont plus fortes que tout.  

1 amitié, 3 histoires

Dans cet épisode vous allez entendre 3 histoires de maternité dans une plus grande histoire d’amitié, et vous comprendrez à quel point tout est lié. À quel point quand on est portées par une amitié qui élève, soutient et entoure sans jamais juger, ça donne de la force pour traverser et accepter beaucoup de choses. Même la lumière dans la vie d’une amie, alors qu’on sort à peine des ténèbres. Ça s’appelle l’amitié, mais c’est surtout beaucoup d’amour et on leur souhaite que le leur dure toujours.  

Les comptes Insta de Muriel, Chloé et Alizée

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