Lindsay, heureuse mère-porteuse. Episode 154 de Bliss Stories

EP154 – LINDSEY, HEUREUSE MÈRE PORTEUSE

La GPA côté mère porteuse

La GPA est toujours interdite en France. D’ailleurs elle fait encore beaucoup débat et c’est aussi pourquoi elle a toujours eu toute sa place chez Bliss. Ici, on a déjà donné la parole à des couples qui ont bénéficié de ce parcours pour faire famille. Mais cette fois, c’est le contrechamp qui vous est proposé. On va s’intéresser à celles qui ont porté, celles qui ont mis leur corps et leur utérus à disposition pour que ces couples connaissent l’immense bonheur de devenir parents.

Comprendre le don de soi

Qui sont ces femmes ? Quelle est leur histoire ? Qu’est-ce qui les pousse à s’embarquer dans une telle aventure ? Comment en arriver à un tel don de soi ? Quel est le déclic ? Comment se vit une grossesse quand on porte un enfant qui n’est pas le sien ? 

Quand elle décide de devenir mère porteuse, Lindsey, architecte à Seattle, allaite encore son fils cadet, âgé d’à peine quelques mois. Elle a alors 39 ans, deux enfants, un boulot prenant et un mari aimant, mais aussi ce désir profond qui s’est logé en elle : celui de retomber enceinte dès que possible, pour faire le plus beau des cadeaux à un couple qui ne pourra jamais porter la vie.

Faire famille autrement

Dans cet épisode de Bliss Stories, Lindsey va donc nous raconter son cheminement personnel, les nombreuses questions qu’elle s’est posées, et toutes les démarches nécessaires pour pouvoir être mère porteuse aux USA, son coup de foudre avec Paul et Haïssam, cette grossesse si différente des deux autres, et puis ce jour incroyable où elle a donné naissance à ce bébé couvé pendant 9 mois, qu’elle a mis entre les bras de ses deux papas.

Le compte Insta de Lindsey: @seattle212

Joyce Jonathan, faire la paix avec son corps. Episode 153 de Bliss Stories,

EP153 – JOYCE JONATHAN, FAIRE LA PAIX AVEC SON CORPS

Joyce Jonathan, la difficulté d’être un personnage public

Il y a des filles qui ont un soleil dans la voix et le sourire accroché au visage. Pour elles, tout semble simple et joyeux. Mais derrière certain sourire de façade se cache une autre réalité. On vit toutes avec nos doutes, nos complexes, et on tente de cohabiter avec eux. Joyce Jonathan est comme nous toutes, la célébrité et la scène en plus. Quand elle démarre sa carrière de chanteuse, elle a la certitude que la minceur est un laisser passer pour la gloire. Son rapport à son corps est biaisé. Difficile aussi de ne pas se laisser emporter par les critiques et les injonctions, surtout quand on a 20 ans. 

Quand l’amour s’en mêle

Même si Joyce Jonathan a parfois cédé aux sirènes de la minceur, s’imposant des régimes drastiques pour correspondre à des canons de papier glacé, c’est finalement avec quelques kilos en plus qu’elle tombe amoureuse d’un beau pianiste corse qui met le feu aux soirées cannoises en plein festival. Après une rencontre digne d’une comédie romantique et la certitude d’avoir trouvé l’homme de sa vie, sa grossesse arrive vite… le confinement aussi. Et c’est dans le calme et la douceur du Sud, entourée de son clan familial qu’elle va regarder son ventre s’arrondir pour la meilleure des raisons. 

La maternité pour le meilleur

Dans ce nouvel épisode de Bliss Stories, Joyce nous raconte les coulisses de sa grossesse et la naissance de sa petite Ghjuilia. Elle nous dit comment elle a réussi à maîtriser son accouchement interminable, grâce à la méthode “chamallow”, mais aussi la bouffée de bien-être que lui a procuré un allaitement qu’elle a réussi à maintenir même après un retour en studio. Elle nous explique également pourquoi être enceinte lui a permis de faire la paix avec son corps. Ce corps qui s’est révélé être un formidable allié.

Le compte Insta de Joyce : @joycejonathan

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