ÉPISODE #UNCUT3

Parce que 2023 a clairement envoyé du bois, je n’ai pas résisté à l’idée d’un nouvel épisode UNCUT… ! C’est un exercice bien différent des épisodes habituels, auquel je me prête pour la 3e fois… Un épisode brut de décoffrage, sans musique et sans montage, juste vous et moi, pour se faire des confidences, et retracer l’année qui vient de s’écouler côté “coulisses du Bliss”.

Pardonnez mes bafouillages et mon émotion, cette année fut aussi intense que passionnante et a placé la barre très très haut niveau montagnes russes.
En tout cas ce qui est sûr, c’est qu’elle valait le coup d’être vécue, et que j’ai toujours autant hâte de poursuivre cette folle aventure avec vous.

Love & Bliss & Happy New Year 🧡
Clémentine

Bliss Vanity, la trousse de survie pour après l'accouchement

ÉPISODE BONUS – LA RECORD ROOM, VOS MOTS DOUX AU BLISS FESTIVAL

Une idée aussi improbable que formidable

Il y a des idées qui nous arrivent parfois sans prévenir et qui donnent des choses improbables et finalement assez formidables… La dernière en date ? Notre « Bliss Record Room », une cabine à votre disposition, imaginée comme un mini studio d’enregistrement et installée en plein coeur de notre Bliss Festival en octobre dernier. 

Coffret Bliss Bump, le cadeau rêvé de toute future mère

Un micro, un casque et une question : qu’est-ce que Bliss signifie pour vous ? Vous avez 2 minutes 😉

Et je peux vous le dire : jamais 2 minutes n’auront été aussi bien utilisées… Des rires, des larmes, des annonces de grossesse, des papas qui osent, des femmes qui se confient, des émotions qui rejaillissent de très loin, des déclarations folles et des remerciements poignants …  

Mais si seulement, vous saviez à quel point c’est moi qui vous remercie…

À ce stade, sachez que vous n’êtes plus seulement mon carburant quotidien, vous êtes devenues notre mission à toutes. #teambliss

Alors, voici une – toute petite – sélection des centaines de messages enregistrés, on ne pouvait évidemment pas tout mettre, mais promis, on a tout pris en plein coeur. Ai-je pleuré en écoutant ce montage ? La réponse est oui, évidemment… Mais je peux vous dire que globalement on faisait pas les fières dans la teambliss et il était difficile de retenir nos larmes ! (d’ailleurs pourquoi les retenir, hein ?) 

J’espère que vous allez aimer plonger dans l’intime de tous ces petits mots qui n’ont jamais été aussi universels. Et surtout, comme vous le dîtes si bien… Long time the bliss, euh non, Live long the bliss… ou Long live the bliss, ohhh je sais plus, vous m’avez embrouillée ! 😉 (private joke efficace seulement après écoute) 

Merci à Lucile Naour notre géniale organisatrice de Bliss Festival d’avoir rendu possible notre idée un peu folle avec le mood qu’on adore chez bliss : « j’ai jamais fait, mais… ok ! » et merci aussi à notre Manon de vous avoir accompagnées avant, pendant et après votre enregistrement.  

Je vous embrasse, et merci encore d’avoir joué le jeu… on recommencera !  

Bliss Vanity, la trousse de survie pour après l'accouchement

Bliss-stories-bliss-festival
Bliss-stories-bliss-festival
Bliss-stories-bliss-festival
Bliss-stories-bliss-festival

ÉPISODE #UNCUT

Se réveiller un dimanche matin à 5h du mat parce qu’on a la tête un peu en surchauffe,

Se dire que dans 3 jours on fait l’Olympia,

Se rappeler ces 5 années d’enregistrements et se souvenir de 200 histoires,

Replonger dans leurs yeux et leurs sourires en scrollant leurs photos,

Avoir envie de partager tout ça avec vous,

Publier un épisode #UNCUT pour vous remercier encore d’être là, et rendre hommage à ces 200 femmes merveilleuses. 

Done ✅

📸 @lesjouesrouges

Coffret Bliss Bump, le cadeau rêvé de toute future mère

Bliss Vanity, la trousse de survie pour après l'accouchement
Accouchement, césarienne

EP SPÉCIAL – ACCOUCHER CONFINÉE #4 – PAULINE

Et si on voyageait un peu dans ce podcast ? Parce que finalement, à l’heure du confinement, que l’on vive ici ou ailleurs, les règles sont à quelque chose près les mêmes partout ! Chères Bliss Girl, vous le savez désormais, les grossesses se suivent mais ne se ressemblent pas… C’est notamment le cas de Pauline, qui a vécu deux grossesses diamétralement opposées. Après un premier accouchement relativement « facile », le deuxième fût plutôt… sportif ! Entre souffrance et désillusion, Pauline revient sur son douloureux accouchement par césarienne.

Accoucher confinée… et à l’étranger !

Quitte à être à distance, je vous embarque aujourd’hui sur l’île de Koh Samui en Thaïlande, où Pauline et sa petite famille y ont élu domicile. Alors, même si le confinement est plus facile au soleil, un accouchement ne l’est pas forcément pour autant. Vous verrez que les conditions d’accouchements en Thaïlande sont bien différentes que celles de nos hôpitaux français. UN hôpital, UNE façon de faire, UN suivi de grossesse… Impossible de déroger aux règles thaïlandaises !

Accouchement par césarienne : entre douleur et délivrance

Au-delà des contraintes imposées par le coronavirus, Pauline vous raconte son accouchement interminable, durant lequel ses grands espoirs d’accouchement naturel ont laissé place à de grandes désillusions. Car, dans un pays où la césarienne est pratiquée à la chaîne, et dans de telles circonstances, elle n’a malheureusement pas pu y échapper.

Intervention programmée ou décidée en urgence, la césarienne, tant redoutée par Pauline s’est avérée aussi douloureuse qu’elle le craignait. Elle lui a laissé un goût amer, surtout qu’elle l’a vécue évidemment, loin de ses proches. Dans ce pays où la culture et la communication sont très éloignées des nôtres, l’encadrement des mamans est loin d’être aussi enveloppant qu’en France. Pauline a donc dû composer, et s’adapter, pour mettre au monde son joli bébé…

Découvrez tous les épisodes du podcast >> Accoucher confinée

Les 10 tips de Pauline

  • On garde à l’esprit que les choses ne se passent pas toujours comme prévu

Toutes les femmes rêvent d’une grossesse sans accroc. Mais, il arrive bien souvent que les imprévus de l’accouchement viennent noircir le tableau… Il ne tient qu’à vous conditionner votre esprit pour ne garder que le positif. Aucun accouchement n’est parfait !

  • On se prépare à toutes les éventualités

Lire, écouter, chercher, se poser des questions, c’est essentiel pour bien vivre un accouchement ! C’est important d’être confiante, mais c’est toujours mieux d’être préparée. L’accouchement par césarienne peut s’avérer particulièrement douloureux. Si pour moi, c’était particulièrement éprouvant, ça ne le sera pas forcément pour vous. Bon à sa voir : quand le bébé est très haut, préparez-vous psychologiquement à pousser, même si vous accoucher en césarienne !

  • On se remet doucement mais surement

Vous aurez potentiellement des douleurs après la césarienne. Rien de plus normal, alors ne paniquez pas. Comptez minimum 5 jours pour vous remettre de cette intervention.

  • On se facilite au maximum le retour à la maison

Il vaut mieux que tout soit prêt pour l’arrivée du bébé, car la première sortie… c’est pas pour tout de suite ! Petits plats maison, bains de bébé, n’hésitez pas à solliciter l’aide de votre chéri. Une fois rentrée dans votre petit nid douillet, il sera aussi là pour vous soulager.

  • On est libre d’allaiter, ou non !

Allaiter par une naissance par césarienne, c’est possible ! Chacun fait comme il veut, enfin, surtout comme il peut. Bien se documenter garantit les chances pour réussir l’allaitement maternel.

  • On soigne sa cicatrice post-césarienne

Prenez bien le temps de soigner la cicatrice post-césarienne. Je pense notamment aux pansements au silicone qui aident à la souplesse et cicatrisation. 

  • On se force à marcher, dès le lendemain

Pour récupérer rapidement après une césarienne, il est recommandé de faire tout de même quelques pas les jours suivants l’intervention. Même si la douleur est bien là… Le but est de prévenir le risque de phlébite, la formation de caillots de sang dans les veines. Alors, prenez votre courage à deux mains, et en avant !

  • On pense aux couches et au gant de toilette

Les suites de couche après une césarienne, ce n’est pas un mythe. Ça fait d’ailleurs parti des tracas de l’après-accouchement dont on ne parle pas assez. Couches et gant de toilette : allez au plus simple, car rien ne sera facile les premiers temps.

  • On en fait le moins possible 

De retour à la maison, faites le MINIMUM. Le corps est littéralement meurtri, il faudra alors s’armer de patience avant de retrouver un quotidien un tant soit peu normal. Il va s’en dire qu’on ne porte rien de plus lourd que son bébé !

  • On dort quand bébé dort !

Oui je sais, c’est cliché… mais tellement vrai, et encore plus après une césarienne ! Croyez-moi, votre corps en a grand besoin.

  • On mange de petites quantités

Le régime alimentaire après une césarienne est assez particulier. Il est conseillé de manger de petites quantités à chaque repas. Et assez régulièrement, si l’appétit est au rendez-vous. Les organes tirent et font mal. Ça non plus, on en parle pas assez.

  • On regarde son bébé à chaque fois que le moral flanche… 

Dernier conseil et pas des moindres, car ça aide à TOUT accepter… Such a bliss to love a baby ❤️🍀

Soucieuses de connaître mon histoire ? Rendez-vous juste ici >> My Story

Accouchement, Confinement, Covid-19, nouveau-né

EP SPÉCIAL – ACCOUCHER CONFINÉE #3 – MAGALI

Accoucher confinée, c’est une chose, accoucher atteinte du Covid-19, c’en est une autre… Et pourtant, Magali n’a pas eu le choix que de faire face à cette double peine. Bien que de légers symptômes du coronavirus, la future maman s’est révélée porteuse du virus au moment de son accouchement. Ce jour tant attendu a alors pris une toute autre perspective, notamment lorsqu’il a fallu l’envisager en « unité Covid ». Pour Magali, c’est le scénario catastrophe : accoucher Covid positive en plein confinement, seule, sans ses proches et son mari. Mais alors, y a-t-il des risques de transmission in utéro ? Que faut-il savoir pour anticiper cette situation, si cela devait vous arriver ? Dans ce podcast exclusif, Magali revient en détail sur sa grossesse pas comme les autres !

Quand accouchement rime avec soulagement

Dans cet épisode spécial, Magali revient sur le déclenchement de son accouchement, ainsi que son séjour à la maternité qui lui a semblé interminable. Un confinement dans le confinement, enfermée avec son bébé dans une chambre qui finit par se transformer en véritable cellule. Soutenue à distance par un entourage ultra connecté, c’est le début d’une course contre la montre pour Magali qui doit à tout prix guérir du coronavirus avant d’accoucher. C’était sans compter le fait que bébé ne semble pas décidé à sortir…

Les soignants, nos héros du quotidien

C’est aussi une histoire à la gloire d’un personnel soignant d’un professionnalisme et d’une sympathie à toute épreuve. Car, même si Magali se sentait parfois punie de devoir accoucher atteinte du Covid-19 seule, et en plein confinement, on peut imaginer ce que ressentent au quotidien les infirmières, les sages-femmes, les gynécos… Bref, toutes ces armées de l’ombre œuvrent pour que les bébés naissent en sécurité et que leurs mamans vivent, malgré tout, le plus beau jour de leur vie.

Découvrez tous les épisodes du podcast >> Accoucher confinée

Les 10 tips de Magali

  • On doit se faire confiance 

La perte de l’odorat est un symptôme très significatif. Personne ne me croyait, mais j’ai bien fait de persévérer. J’ai été mieux protégée et mon bébé aussi. Bon, pas la peine de tomber dans l’hypocondrie non plus… mais il faut toujours un peu s’écouter. Quoi qu’il en soit, j’étais déjà bien avancé dans ma grossesse… C’était alors quasi inévitable : j’allais accoucher atteinte du Covid-19.

  • On note ses pensées sur un petit carnet de grossesse

Personnellement, écrire m’a permis de tenir pendant le séjour à la maternité. Il ne s’agit pas d’écrire nécessairement de la grande littérature : par exemple, j’écrivais les jours qui me restaient à tenir sans le papa, et je les barrais au fur et à mesure. C’est un réconfort incroyable.

  • On pense à l’après-accouchement

Visualiser la rencontre avec le papa, ou quand je raconterai plus tard à mon fils l’histoire de sa naissance, m’a vraiment aidée.

  • On s’entoure à distance… avec les moyens du bord !

J’avais beau vivre une grossesse confinée, mes proches m’ont énormément soutenue, en me téléphonant, en m’envoyant des petits mots et des vidéos… Des trucs que j’ai pu voir et revoir à gogo lors de mes petits coups de mous. Quoi de plus de beau que l’amour de ses proches ?

  • Pour le travail… on se met en mode “survie”

Lorsqu’on est seule pour gérer la douleur de l’accouchement, ce n’est finalement pas plus mal : personne pour nous regarder, personne à rassurer. On peut hurler librement, être “animale”, sans peur du jugement.

  • On trouve des techniques pour surmonter la douleur des contractions

Ça marche pour calmer les contractions : sous la douche, asseyez-vous sur un ballon avec le pommeau d’eau très chaude, alternativement sur le ventre et dans le bas du dos.

  • On se réconforte comme on peut

Avis aux gourmandes, emmenez à la maternité une bonne grosse réserve de chocolat. Ça aide à surmonter les petits coups de blues !

  • On prend du recul sur la situation

Une fois n’est pas coutume : parcourir les forums sur Internet m’a sauvée ! Je cherchais des récits de déclenchement de grossesse, et ce qui m’a rassurée, c’est que TOUS ont une fin, même si c’est une césarienne d’urgence… J’avais survécu à une grossesse confinée et au coronavirus, j’allais bien survivre à l’accouchement, quel qu’il soit.

  • On est bien plus forte qu’on ne le croit !

C’est important de se répéter comme un mantra qu’on est une véritable guerrière. Prenez conscience de cette force que vous ne soupçonnez pas.

  • On forme une équipe de choc avec bébé

Même s’il est encore dans le ventre, parler à son bébé est très important. J’ai eu le sentiment qu’on formait une équipe avant même sa naissance. On se rend finalement compte que ce n’est pas si terrible d’accoucher confinée. Je n’étais pas seule.

Soucieuses de connaître mon histoire ? Rendez-vous juste ici >> My Story

Accouchement, Confinement, Naissance, Famille

EP SPÉCIAL – ACCOUCHER CONFINÉE #2 – LÉA

Accoucher pendant le confinement, qui l’aurait cru ? Si Léa Da Fonseca vous est familière, c’est normal ! Cette maman a déjà témoigné à mon micro, dans l’épisode 24, sorti en mars 2019. Elle revenait alors sur sa première vie de couple, sa grossesse sous haute surveillance, la naissance de ses incroyables petites jumelles, et les accidents de la vie qui ont fait d’elle la femme qu’elle est aujourd’hui. Quand on s’était quittées, elle m’avait dit que le meilleur était à venir. Elle y croyait plus que jamais, et elle avait raison…

Léa Da Fonseca et son accouchement confiné

Car Léa, comme les chats, a plusieurs vies… Et depuis notre entretien, elle a redécouvert le bonheur, le vrai, avec son homme, ses filles et son nouveau-né. Son petit Mauro est né il y a quelques jours seulement, et la maman a donc dû faire face à une nouvelle épreuve : celle de donner naissance en temps de crise. Mais comme chez elle rien ne se passe sans une petite dose d’adrénaline, et qu’il était inenvisageable d’accoucher sans son homme, Léa a dû faire preuve de créativité et de beaucoup de patience pour que cela soit possible.

Une histoire pleine d’espoir

Dans cet épisode spécial confinement, notre Bliss Girl vous racontera comment la lumière est revenue dans sa vie, son accouchement en pleine pandémie mondiale, et la naissance de son petit garçon qui, jusqu’à la dernière minute, a bien failli naître sans son papa… Podcast du jour : Léa Da Fonseca et son accouchement confiné !

Découvrez tous les épisodes >> Accoucher confinée

Accoucher, Confinement, Covid-19, Césarienne

EPISODE SPÉCIAL – ACCOUCHER CONFINÉE #1, LAURE

Situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles ! Face à la crise sanitaire actuelle, et aux innombrables messages que je reçois quotidiennement, il m’est apparu urgent de donner la parole à toutes ces femmes pour qui ce confinement se synchronise avec une étape cruciale de leur vie : la mise au monde. Je donne aujourd’hui la parole à Laure, qui a dû accoucher en plein confinement.

Accoucher en plein confinement : témoignage à distance

En temps normal, à l’approche du Jour J, on ne pose des milliers de questions. Alors, imaginez lorsqu’on sait qu’on devra donner naissance en temps de crise… Avec le confinement et les nouvelles mesures restrictives, tout est décuplé. Il faut faire face à une préparation psychologique supplémentaire : celle de gérer un accouchement seule, et une hospitalisation sans sa moitié. Alors, pour démarrer cette série d’épisodes baptisée « Accoucher confinée », je vous propose d’aller à la rencontre de Laure, que j’ai interviewée à distance, à sa sortie de la maternité. Elle nous raconte son accouchement survenu le premier jour du confinement, dans une ambiance fin du monde teintée de grande incertitude collective.

Une hospitalisation interminable

Parmi les tracas de l’après-accouchement, on retrouve notamment les fameuses suites de couches (les premières règles après les règles). Et Alors que Laure pensait rentrer rapidement chez elle, elle a dû rester hospitalisée 11 jours, seule avec son bébé. Finalement, elle a jonglé entre le service de néo-nat’, les équipes médicales entièrement masquées, les couloirs déserts, les Whatsapp interminables avec son chéri, ainsi que les quelques nouvelles qui lui arrivaient de l’extérieur. Maintenant, je laisse la parole à Laure qui nous raconte son accouchement en plein confinement.

Découvrez tous les épisodes >> Accoucher confinée

  • L’Instagram de Laure : @laureiller_vert

LES TEN TIPS DE LAURE

    • Prévoir le strict nécessaire pour la maternité

Car on doit le porter si le personnel n’est pas dispo pour aider. Garde le confort pour la maison !

    • Tenir bon et tout apprendre en accélérer pour rejoindre vite le papa !

Surtout si on vit mal d’être loin de lui. Dormir, ça sera à la maison.

    • Remarcher le plus vite possible, même en cas de césarienne…

Si les jambes le permettent, bien sûr. Ça aide à se remettre plus vite. True story : mon bébé étant en néonatalité et les allers-retours m’ont permis une meilleure remise en forme.

    • User et abuser des WhatsApp, vidéos et photos…

N’hésitez pas à demander au personnel soignant d’en prendre lors du premier bain, par exemple (elles seront toutes d’accords !)

    • Tirer, tirer, tirer le lait !

Surtout si bébé n’arrive pas à téter et que l’allaitement est un projet qui tient à cœur. Moi, je le fais encore. Il prend un peu le sein mais il peut aussi se nourrir exclusivement grâce à un tire-lait de compétition loué et prescrit sur ordonnance.

    • Prévoir une sacrée crème pour réparer les mains.

Avec le Covid-19, il y a des règles très strictes et les mains sont lavées une vingtaine de fois par jour. Le personnel comme les patients ont tous les mains blessées. Moi, je n’en avais pas alors j’ai utilisé ma précieuse lanoline (Medela). Très efficace !

    • Prévoir un tapis de bain.

Bon c’est bête, mais c’est bien d’avoir les pieds secs, non ?

    • Profiter du confinement pour se lover en petit comité.

Et savourer les premiers instants de bébé. C’est précieux et puis le papa rattrape le temps perdu en un clin d’œil ! 

    • Prévoir de bons plats cuisinés à l’avance dans le congélateur.

Ça fait un bien fou en rentrant !

    • Se dire que tout ira mieux ensuite

Si j’ai pu accoucher en plein confinement, toi aussi tu peux. On est fortes, on est des guerrières !

Soucieuses de connaître mon histoire ? Rendez-vous juste ici >> My Story

EPISODE BONUS: TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU SAVOIR SUR L’ALLAITEMENT (sans jamais oser le demander)

Cet épisode un peu spécial est l’enregistrement de l’atelier organisé il y a quelques semaines par @mylittleparis et @mustela.france. Rachel Mc Adams n’avait pas pu venir, mais j’étais entourée des meilleures pour répondre à vos questions sur l’allaitement, j’ai nommé Alix Petit et Marie Faure Ambroise. Alors, le son n’est pas optimal car nous étions nombreuses autour du micro et c’est donc parfois un joyeux bordel, mais au moins c’est comme si vous y étiez! Cet épisode regorge d’infos essentielles et de bons conseils de mamans allaitantes qui parlent de leur vécu, de leurs galères et de leurs plaisirs à allaiter. Que du bon, que du vrai! Pump it up ladies!!!

Pour que vous vous y retrouviez voilà les thèmes abordés chronologiquement : Allaitement: craintes et fantasmes/ La montée de lait/ L’importance des 3 premières semaines/ L’implication du conjoint/ Allaitement et cododo/ Les petits bobos de l’allaitement/ La position du bébé au sein / Quel tire-lait choisir? / La question de la quantité / Les techniques pour stimuler la lactation / Les réactions de l’entourage / Médicaments et allaitement / Alcool et allaitement / Reprise du travail et allaitement / Les vêtements d’allaitement / L’allaitement à la demande Les pics de croissance / Le sevrage/ Les seins après l’allaitement / Allaitement et césarienne/ Les mots de la fin               

+++++ENJOY+++++Pour plus d’infos sur l’allaitement, ça se passe à la Leche League

Pour vérifier ce qu’on peut prendre comme médicament pendant la grossesse: Le CRAT 

Pour contacter des consultantes en lactations, c’est

Add to cart