EP100- CLÉMENTINE, MY BLISS STORY

 

Il m’en aura fallu du temps pour me dire que peut-être… mon histoire méritait d’être entendue.

Vous me réclamez ce récit depuis le démarrage, et si j’ai réussi à botter en touche jusqu’ici, pour ce 100e épisode, je me suis dit que je vous devais bien ça.

Alors voilà, tout est là.

Merci à ma Cécile qui a accepté ce rdv pris il y a 2 ans et demi.

Merci à vous de faire ce que je suis aujourd’hui.

La vie est belle,

Love & Bliss forever

Clémentine

EP99- BABETH, PARFAITEMENT IMPARFAITE

 

Audrey Hepburn disait que le plus difficile dans la maternité c’est cette inquiétude intérieure que l’on ne doit pas montrer… Et si je la cite aujourd’hui, ce n’est pas pour me faire un revival du générique de Baby-Boom, mais parce que je trouve cette citation très juste pour illustrer ce nouvel épisode.

C’est vrai quoi, porter un enfant jusqu’à terme ça peut être tellement inquiétant… le faire naître aussi… et puis ensuite… l’élever, le faire grandir dans un foyer qui se doit d’être stable et résistant aux tempêtes conjugales. Un programme tout simplement vertigineux quand on y pense.

Quand elle est tombée enceinte de sa première fille, Babeth est aussi tombée des nues, et a dû accepter ce bébé surprise dont la naissance a eu vite fait de balayer tous ses fantasmes de maternité parfaite. Sa fille Cerise lui aura appris à être maman, et la petite Salomé arrivée après 2 fausses-couches, lui permettra de tester un peu plus sa capacité à absorber les chocs. Menace d’accouchement prématuré à seulement 2 mois de grossesse, alitement strict pendant 7 mois, puis opération vitale à 10 jours de vie, cette petite sœur tant attendue chamboulera une fois de plus les rêves de perfection de Babeth.

Alors à quel moment accepte-t-on de mettre de côté ses rêves pour faire place à la réalité ? Comment transformer ses désillusions en lâcher prise ? Je laisse Babeth vous raconter son histoire, et comment elle a su se réapproprier sa vie pour concrétiser d’autres rêves.

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LES TEN TIPS DE BABETH

1/ Tu ne seras jamais parfaite!

Tu n’es mais surtout tu ne le seras jamais! Tu es juste celle qu’il faut pour ton (tes) enfant(s).
Crois-moi viser la perfection ne te mènera nulle part! Mise plutôt sur l’excellence! Fais le meilleur avec les choses que tu as entre les mains.

2/ Maman mais pas que!

Nous portons plusieurs casquettes et avons l’habitude de privilégier certaines casquettes à d’autres! Erreur! Apprends à retirer ta casquette de maman pour porter toutes les autres casquettes que tu possèdes! Autorise toi à porter la casquette qui correspond à la situation donnée.
 

3/ Et si tu pensais à toi?

Tu es la personne la plus importante de ta vie! La preuve tu en es le personnage principal! C’est encore sûrement dur à entendre pour toi, à lire même: mais c’est la réalité. Alors prends soin de toi, de l’extérieur mais tout autant de l’intérieur! Aime toi sincèrement aussi! Tu n’en seras qu’une meilleure partenaire de vie, tu n’en seras qu’une meilleure maman. Car l’amour et la bienveillance dont tu feras preuve à ton égard, sera tout aussi puissant pour tes enfants! N’oublie pas qu’une maman bien dans ses baskets engendre des enfants bien dans leurs baskets.
 

4/ Ta vie ne s’est pas arrêtée!

La maternité ne sonne pas la fin de l’histoire! Elle marque même le début. Grâce à elle, les choses deviennent plus limpides.
Donc autorise-toi de vivre tes rêves. Ne te limite pas, challenge toi. Sors de ta zone de confort. Tout commence maintenant! Tu as des minis humains sous ta responsabilité, à inspirer!
 

5/ Tu es capable!

Pas de panique, ça va le faire! Même les jours où leurs cris, leurs larmes, leurs excès de colère, leurs demandes et ta fatigue intense n’arrivent plus à cohabiter, ça va le faire!
 

6/ C’est toi la patronne!

Oui la patronne de cette famille c’est toi! Donc fais comme toi tu le sens! Ne te compares pas aux patronnes des autres familles! À chacune son règlement intérieur! Le tien est le meilleur pour ta tribu!
 

7/ #coupletime

Ta moitié et toi êtes le socle de votre famille! Prenez donc le temps de passer du temps ensemble! Prenez le temps de passer des moments de qualité, des moments rien qu’à vous.
 

8/ Le sexe à sa place dans l’équation.

Faire l’amour vous rappellera à quel point vous vous aimez! Cela te rappellera à quel point tu es une femme à la hauteur de sa féminité! Cela ne rappellera que tu es aussi l’amoureuse aimée de ta moitié!
 

9/ Demande de l’aide si tu n’y arrives pas!

Personne ne te jettera la pierre! Nous avons toutes besoin d’être soutenues
 

10/ On ne devient pas maman avec un mode d’emploi en pdf!

Tu es celle qu’il faut! Ne laisse personne te faire douter de cela!
 

EP98- JULIE, ILS AURAIENT DÛ ÊTRE DEUX

Il y a des histoires qui ne devraient pas exister, des scénarios catastrophes qui sont sensés n’être que des cauchemars. Cette histoire je l’ai suivie sur Instagram, j’ai pleuré ce bébé parti de façon si injuste, et j’ai été fascinée par l’aptitude de sa mère à une résilience impossible, portée par son autre bébé qui lui, était bien en vie.

Quand Julie m’a fait part de son besoin de raconter ce qui lui était arrivé, je me suis demandé s’il n’était pas trop tôt et j’ai eu peur de la faire replonger dans ces souvenirs traumatiques. Pourtant, à travers nos échanges, j’ai surtout senti une mère en colère, qui ressentait l’urgente nécessité de parler de cette imprévisible grossesse gémellaire, à laquelle il a fallu se faire, puis finalement vécue comme un cadeau de la vie.

Julie a aimé porter ses deux petits garçons presque à terme, mais ce qu’elle appréhendait plus que tout, c’est le moment où il faudrait qu’ils sortent par voie basse. En effet, Julie l’infirmière, Julie la soignante informée, était pourtant terrifiée par la manœuvre interne nécessaire à certains accouchements de jumeaux, et aurait préféré anticiper une césarienne. Mais puisqu’encore aujourd’hui, la parole et les inquiétudes des patientes ne sont parfois pas prises en compte, ce qu’elle redoutait le plus a fini par arriver.

En donnant naissance à Antoine et Charles, Julie a donc dû accepter l’inacceptable, et dire adieu à l’un des deux. Parfois on se passerait bien de faire partie des mauvaises statistiques, et ce qui est arrivé ce jour-là n’est heureusement pas représentatif de toutes les grossesses multiples. Mais comme il est important de savoir, je vous laisse donc découvrir l’histoire de la naissance d’Antoine et Charles, et celle de Julie, qui aurait dû aujourd’hui les tenir tous les deux dans ses bras.

 

LES TEN TIPS DE JULIE

  1. Suivez votre instinct ! TOUJOURS ! Si vous avez un truc qui vous taraude ou un « pressentiment » allez au bout de votre idée en l’exprimant. Notre instinct nous fait rarement défaut et on a tendance à ne pas assez s’écouter. Communiquez tout ce qui vous semble utile à dire à l’équipe qui vous prend à charge, imposez vous ! Vous êtes celle qui savez le mieux car c’est VOTRE corps, VOTRE bébé ! C’est vous la chef.
  2. Ne retenir que le meilleur : s’il y a un détail ou un élément de votre accouchement qui ne va pas dans le sens où vous vouliez : « qu’importe le flacon pourvu qu’il y ait l’ivresse disait YSL ! Traduction : peu importe le moyen, l’essentiel est la finalité ! La santé de vous et vos bébés ! Apprenez à être reconnaissante de cet élément très important et trop souvent oublié ! La césarienne sauve des vies et on a tendance à trop la diaboliser.
  3. Le début de l’allaitement est douloureux ? Bébé ne tête pas assez bien ? Avez vous pensé au tire allaitement pour préserver vos seins en attendant ? L’occasion de pouvoir donner à bébé votre lait, stimuler votre lactation et de lui re-proposer le sein plus tard ! Rien n’est figé dans l’allaitement ! (les bébés ont une formidable capacité d’adaptation) j’ai refais un essai au sein 1 mois après la naissance, et banco. Le tire allaitement a été ensuite un choix pour ma part voyant le rythme que j’avais réussi à instaurer, et vu mon contexte personnel, me remettre de cet accouchement difficile en me permettant de passer le relai grâce aux biberons de lait maternel… N’hésitez pas à vous faire offrir un mini tire lait de voyage sur la liste de naissance (Medela double pompage, un gain des temps + le bustier qui est INDISPENSABLE pour pouvoir faire autre chose en même temps ! 😉  ici 4 mois de tire allaitement et ces accessoires m’ont clairement sauvés la vie.
  4. Césarienne ? Pansement occlusif avec crème cicalfate la nuit pendant 1 mois. Épisio ou déchirure ? Demander de la glace à la maternité s’ils ne proposent pas. Pour les cicatrices que ce soit césarienne, épisio ou déchirure (même interne) rapprochez vous d’un cabinet sage femme qui pratique le winback (de la radiofréquence indolore) un formidable outil pour améliorer votre post partum.
  5. Entourez vous bien dans votre post partum surtout s’il y a un deuil… ma gyneco de ville qui me suivait avant ma grossesse m’a recommandé une pédopsychiatre spécialisée en deuil périnatal (je ne savais même pas que ça existait…), faites vous accompagner c’est indispensable. Toutes les mamans qui ont perdu un enfant, l’ont fait, on en est pas moins des guerrières pour autant. Essayez aussi les médecines douces si vous êtes ouverte à l’idée : sophrologie, acupuncture, hypnose, emdr (pour les stress post traumatiques), magnétiseuse…. la règle c’est : on se fait du bien !
  6. Faites un projet de naissance et discutez en avec le conjoint avant de le communiquer à l’équipe ! Il doit être pleinement intégré et au fait de tout ce que voulez ou ne voulez PAS (croyez moi si vous êtes sous anesthésie générale ce sera votre meilleur porte parole s’il est au courant de tout).
  7. Vous faire du bien et prendre du temps pour vous. Ma situation a été très compliquée, j’ai flirté avec la vie et la mort en même temps, car j’avais d’un côté le bonheur et l’occupation d’être maman donc un nouveau statut à endosser et j’avais cette peine immense à gérer, cette impression que tu vas crever de douleur tout en devant me rendre  disponible pour mon autre enfant. N’hésitez pas à laisser votre bebe pour prendre un aprèm massage, shopping, ou une escapade. Vous n’en reviendrez que plus disposée à câliner, pouponner et ce n’est que mieux pour votre bébé. Se faire du bien, ça passe aussi par le fait de se dire qu’on est géniale, c’est le moment de vous envoyer des fleurs et je me félicite aussi très fréquemment de mes petites victoires à présent. C’est important d’être bienveillante envers soi même et tellement dans ces moments là !
  8. Acceptez l’aide de vos proches. Ça les aide eux à se sentir utiles ils en ont besoin car ils se sentent désemparés eux aussi, de voir leur enfant ou leur sœur qui a perdu la moitié de son cœur…  n’hésitez pas à exprimer vos besoins, ce n’est plus le moment de faire des fausses politesses ou d’avoir peur de déranger. Au retour de la maternité nous avons été en « pilotage automatique » tellement au radar et sous le choc… les livraisons de plats déjà préparés de nos parents et amis ont été une bénédiction. Car le quotidien ne s’efface pas même si vous vivez une terrible épreuve et il est nécessaire de vous préserver car c’est un marathon sur le long terme. Vos proches n’ont pas besoin d’avoir forcément des mots (qui peuvent être maladroits! Cf le livre « dans ces moments là » ) de simples gestes ou dire « je suis là » suffisent.
  9. Rapprochez vous de personnes qui ont vécu un truc similaire. Association petite Émilie, Agapa (et leurs cafés rencontres), Souvenange, spama… tant d’assos qui peuvent être une ressource précieuse pour quand vous êtes dans les moments « moins ». N’hésitez pas à essayer un groupe de parole, on se comprend tellement entre « sœurs de douleur »
  10. Lâchez prise. Ce qui m’est arrivé m’a fait prendre conscience que même si j’ai fais attention et en remplissant tous les critères de la bonne élève, je n’ai pas pu empêcher cette déflagration. L’effet papillon a joué un rôle majeur dans la bascule de ma vie. Il aurait suffit que j’accouche la veille ou le lendemain et la situation serait sûrement très différente… Il faut profiter de votre grossesse car elle passe vite, ne vous attribuez pas les histoires des autres (mon accouchement a « stressé » une copine qui accouchait peu de temps après moi) mon témoignage n’a pas pour but d’angoisser les mamans ou futures mamans, il a pour but d’ouvrir la parole sur la perte d’un enfant car on est trop « masquées » par la société, (quoi que le sujet commence à s’ouvrir mais il met mal à l’aise les gens, qui ne savent pas comment réagir bien souvent. ). Je me suis intoxiquée le cerveau à retourner et refaire le film tant de fois dans ma tête. J’espère un jour être totalement en paix avec tout ça, mon fils Antoine étant ma meilleure thérapie.

EP97- CAROLE TOLILA, RENONCER AU PETIT DERNIER…?

Certaines femmes ont une idée très précise du nombre d’enfants dont elles rêvent, pour d’autres, c’est plus flou. Cette incertitude est souvent liée à une multitude de paramètres et d’hésitations insolubles pouvant entraîner des regrets éternels.

Bien sûr, idéalement il faudrait être consciente qu’on vit sa dernière grossesse au moment où on la vit pour pouvoir la savourer pleinement. Oui mais voilà, parfois tout va tellement vite qu’on peut passer à côté de cette prise de conscience, et passer ensuite le reste de notre vie à courir après des sensations perdues.

Pour Carole, la maternité démarre avec une menace d’accouchement prématurée, puis une césarienne suivie d’un baby-blues éprouvant, mais qui ne l’empêche pas de penser très vite au prochain enfant. La 2e grossesse tarde un peu mais sa petite Thelma vient compléter le tableau de famille qui semble au complet.

Mais contrairement à son mari, pour Carole, il n’était pas écrit que cette 2e fois serait la dernière, et malgré le bonheur immense que lui procurent ses enfants, un sentiment d’inachevé persiste au plus profond d’elle-même. C’est comme si elle n’avait pas réussi tout ce qu’elle fantasmait d’une grossesse et d’un accouchement, et qu’elle ferait certainement mieux si elle tombait enceinte une troisième fois.

Alors comment gérer au quotidien ce sentiment qu’on a encore quelque chose à régler avec la maternité ? Comment être sûre que c’est une réelle envie et pas juste une lubie ? À quel moment accepte-t-on de renoncer pour s’aligner avec l’autre ? Comment se décider à tirer un trait sur cette « dernière fois », et être certaine que c’est la bonne décision ? Autant de questions que Carole n’a pas fini de se poser, et son témoignage vous permettra certainement de cheminer avec elle vers votre propre réflexion, ou peut-être de savourer d’autant plus, chaque moment précieux de votre maternité.

 

LES TEN TIPS DE CAROLE

  1. Prendre des photos de votre grossesse. Je suis celle qui prend tout en photo et tout le temps mais je n’ai pas de belles photos de mes grossesses. N’hésitez pas à vous photographier dans un miroir. Même si les photos ne sont pas « instagrammables », parfaites…vous allez être tellement contentes de les voir dans quelques années. Et puis demandez à votre mari de vous photographier ou offrez vous une séance avec un(e) photographe !
  2. Acceptez de demander de l’aide ! On aime tellement tout gérer, montrer que l’on est capable mais le contexte est particulier et il faut accepter de montrer quelques faiblesses/signes de fatigue. Dans notre société actuelle, la famille n’est plus forcément à proximité ou disponible alors il faut trouver des moyens de se faire aider. Augmentez vos quotas d’heures de ménage si vous avez les moyens, entrez dans des groupes d’entre-aide entre maman (repas cuisinés pas d’autres mamans par ex..), demandez à vos amies ce dont vous avez vraiment besoin…
  3. Préparez votre faire-part. Par superstition je n’avais pas voulu me pencher sur cette question. J’ai mis 6 mois à les envoyer! Choisissez au moins le modèle et faites la liste des envois + adresses, c’est toujours ça de pris sur le temps à passer à vous occuper de votre bébé ou à dormir !
  4. Le conseil que je donne toujours à une future maman en stress sur la réaction de son aîné est de le mettre à contribution le jour de l’arrivé du bébé à la maison. Lorsque vous arrivez de la maternité c’est à votre enfant d’ouvrir la porte et faire la visite guidée de la maison à son petit frère ou sa petite sœur. Ça aide beaucoup je trouve pour qu’il se sente à sa place, prêt à accueillir le petit nouveau.
  5. Pour mes bébés, j’avais un cahier de grossesse. J’aimais noter les petits maux de grossesses, les idées de prénoms, mes doutes… c’est précieux pour vous et pour eux !
  6. Parlez avec le papa. Vous allez devoir retrouver un équilibre de couple et ce n’est pas chose facile. Comme nous avons eu des enfants qui ne dormaient pas, on a rapidement mis en place un système de « je fais la nuit, tu fais le matin » et ça a sauvé l’ambiance à la maison !
  7. Achetez au fur et à mesure. Rien ne sert de surconsommer donc ne vous ruez pas dans les magasins avant l’arrivée de votre bébé. Apprenez à le connaître et à voir vos besoins. Les soldes c’est tentant mais là pareil posez vous toujours la question « en a t’il vraiment besoin ? N’en ai je pas déjà 3 identiques ? ». J’avoue avoir acheté souvent des vêtements plus grands pour que mes enfants puissent les porter plus longtemps ! Alors mon fils et mon mari se moquaient de moi (« ce n’est pas un t-shirt mais une robe 🙂 ») mais finalement cette technique m’a permis de voir mes enfants avec des vêtements que j’aimais beaucoup pendant 2 ans dedans. J’ai eu l’impression de ne pas consommer pour rien.
  8. Trouvez LA sage-femme qui va vous accompagner. Depuis que j’ai tourné avec des sages-femmes j’ai une adoration sans fin pour ce métier. Pour ma deuxième grossesse j’ai eu la chance d’avoir une super et incroyable sage-femme à l’hôpital (hello Delphine). Je sais que l’on ne choisi pas, que c’est la loterie le jour j…alors si vous ne tombez pas bien, que vous avez un accouchement compliqué, il faut ABSOLUMENT que vous trouviez une sage-femme libérale pour votre suivi qui puisse vous écoutez, vous épauler. J’ai eu beaucoup de complications lors de mon allaitement avec Thelma et c’est vraiment la sage-femme (hello Anne-Sophie) qui m’a aidé à traverser cette période avec sérénité. Je vous souhaite de trouver celle qui vous marquera à vie !
  9. Dormez avec votre bébé. J’étais tiraillée car on me disait qu’il ne fallait pas l’habituer à dormir avec nous, j’avais peur de l’écraser …pourtant j’ai tellement été réveillée dans la nuit que j’ai fini par lâcher et dormir avec lui. Et quel bonheur ! Bon ça c’est un conseil d’une fille qui a eu des enfants qui n’ont dormi qu’au bout de 18mois donc ça vaut ce que ça vaut hein !
  10. Écoutez Bliss ! Je sais c’est facile mais je le pense vraiment ! Ça vous aidera sûrement à ne pas vous sentir trop seule, à vous sentir comprise, entourée, préparée…alors laissez vous emporter dans les aventures et les témoignages de Clémentine !
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