Expression abdominale, Famille nombreuse, HELLP SYNDROM, Hémorragie de la délivrance, Pré-éclampsie, Prématurité, Vie de couple

EPISODE 51 : ANAÏS, RIEN NE SE PASSE JAMAIS COMME PRÉVU !

On le sait, chaque grossesse et chaque accouchement sont uniques et apportent avec eux leur lot de bonnes et de mauvaises surprises… Anaïs ne le sait que trop bien, car pour elle, ses 3 expériences furent ponctuées d’événements inattendus auxquels elle était loin d’être préparée.

 

Chaque grossesse est unique !

Un premier bébé sorti brutalement après une expression abdominale traumatisante. Puis, un deuxième dans une hémorragie de la délivrance impressionnante. Et enfin, un tout petit troisième arrivé beaucoup trop tôt, et par césarienne, à cause d’une pré-éclampsie qui aurait pût être fatale. Avec lui, elle a découvert le monde parallèle de la prématurité. Anaïs s’est transformée en maman kangourou,pour le couver de toutes ses forces ! A chaque fois, elle a tremblé, vibré, aimé plus que tout. Elle a appris que l’expérience de la grossesse est loin d’être anodine. Jusqu’au bout, il peut arriver n’importe quoi, et globalement, rien ne se passe jamais comme on se l’était imaginé…

L’Insta d’Anaïs : @parisianavores

 

LES TEN TIPS D’ANAÏS

  • Ne pas googler ses peurs, craintes, symptômes quand on est enceinte !

Moins bonne idée et la plus tentante de notre siècle. Super anxiogène et rarement fiable.

  • Rien ne dure…

Dans les bons mais surtout dans les mauvais moments, se dire que tout, tout, tout est éphémère

  • Restez entre vous au début 
Vivre les premiers jours, voire semaines à trois car les réflexes s’installent dès les premières semaines mais aussi parce qu’on est parfois au bout de sa vie en rentrant de la maternité
  • Ne pas trop idéaliser son accouchement

Sous peine d’être déçue… C’est cool, légitime, normal et important d’avoir des souhaits. Mais c’est con d’être triste si les choses prennent une autre tournure. Bref, comprendre que l’on ne contrôle pas tout.

  • Lâcher prise
Tout ne sera pas parfait, tout ne sera pas rangé, peut être rien d’ailleurs mais ce n’est pas les chaussettes par terre que l’on gardera en mémoire.
  • Parler et réfléchir à deux
Avant la naissance à un pacte parental, au partage des tâches, mais aussi tous les aspects pratiques autour de bébé, de sa garde ou non garde…
  • Ne pas critiquer quand l’autre fait
Ce n’est peut-être pas comme on ferait certes, mais il faut apprendre à laisser faire ! Surtout, il ne faut suttout pas s’élever en maître du bébé et petit chef de la maison (à part si c’est par volonté).
  • Sortir !
En sortant de la maternité, on a l’impression que le monde est violent pour un tout petit être comme ça. Mais sortir a été pour moi, un des antidotes indispensables pour éviter un long blues.
  • Consulter un ostéo
Si vous êtes en vrac après votre accouchement (par voie basse comme par césarienne), allez chez un ostéo, ça a été magique pour moi les 3 fois.
  • Dites non !
Vous êtes un être responsable, adulte, intelligent, votre corps est votre corps, votre bébé est votre bébé. Non aux médecins si vous n’êtes pas d’accord avec quelque chose, non aux infirmières, non aux personnes qui vous donnent des conseils quand vous n’en n’avez pas demandés, non à ceux qui aimeraient vous faire douter sur vos choix.
 
 
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Agathe Lecaron, Grossesse tardive, Mère à 40 ans

EPISODE 50 : AGATHE LECARON, ÊTRE MAMAN À 40 ANS

Puisque la vie peut parfois mettre du temps à vous faire rencontrer la bonne personne, puisque malgré tout ce qu’on voudrait, il n’y a pas de timing précis pour faire un bébé. Les planètes peuvent se retrouver alignées un peu plus tard qu’on ne pensait. Mais heureusement ça n’empêche rien, et surtout pas de devenir mère à 40 ans, même si tous nos potes le sont déjà depuis un moment. Le principal c’est de le vivre ce bonheur non ?

 

Mère à 40 ans : quand l’amour n’a pas d’âge

Agathe Lecaron a bien failli passer à côté. Mais heureusement, un jour, la magie a opérée. Magie de la rencontre, magie de l’alchimie, qui a finalement fait d’elle une maman à 40 ans. Alors évidemment les grossesses tardives ça ne se vit pas pareil qu’à 30 ans. Et même si Agathe pourrait être une publicité pour vanter leurs mérites, elle a quand même dû un peu accuser le coup. Avec des post-partum loin d’être évidents et le deuil d’un troisième enfant qu’elle aurait certainement fait si elle avait commencé plus tôt. Mais l’histoire est déjà très belle, et Agathe mesure chaque jour la chance qu’elle a eu de pouvoir vivre tout ça. D’habitude c’est elle qui pose les questions, aujourd’hui, c’est moi, et je la laisse vous raconter SON histoire de maternité.

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L’Insta d’Agathe : @agathelecaron
Devenir parents par GPA, Couple gay, Couple homosexuel, Gestation par autrui, Homoparentalité, Mère porteuse

EPISODE 49 : SEB & JULIEN, NOTRE BÉBÉ DU CANADA

Quand on est deux hommes, qu’on s’aime et qu’on veut faire un bébé… comment ça se passe ? Alors que la Gestation Pour Autrui a toujours été illégale en France, c’est pourtant LA solution pour de nombreux couples homosexuels qui revendiquent eux aussi le droit de devenir parents. On estime d’ailleurs que 200 à 300 bébés nés par GPA arrivent en France tous les ans.

 

Couple gay : devenir parents par GPA

C’est donc bien que la motivation de ces couples est plus forte que tout. Et surtout, que rien ni personne ne les empêche de construire leur famille autrement. Seb et Julien ont franchi une par une toutes les étapes de ce véritable parcours du combattant. Par où commencer ? A qui s’adresser ? Comment être sûrs d’avoir les bonnes infos ?? Il a fallu se documenter beaucoup, être patients, infiniment, et puis se laisser cueillir par une rencontre avec une femme dont la personnalité et l’engagement dépassaient toutes leurs espérances. Ils ont vécu grâce à cette mère porteuse exceptionnelle une aventure humaine inouïe, et ils ont accepté de tout vous raconter aujourd’hui.

L’Insta de Seb : @instantseb
L’insta de Julien : @thisisjulien

LES TEN TIPS DE SEB & JULIEN

  • Se dire que devenir parents par GPA, c’est possible ! Même si tout semble une montagne au départ.
  • Être patient, et se dire que ce voyage va être tout sauf un long fleuve tranquille
  • Oser demander conseil. Chaque parcours est différent, d’autres sont passés par là avant. Donc profitez de leur expérience !
  • Lâcher prise. Accepter le fait qu’on ne contrôle rien, tout au long de l’aventure.
  • Faire confiance, même si c’est pas facile à des milliers de kilomètres. En général, tous les intermédiaires sont bienveillants.
  • S’écouter au-delà des bonnes ou des mauvaise décisions. Le feeling est primordial !
  • Aller étape par étape même si ça fait peur. Tout n’arrive pas d’un coup, on peut prendre son temps !
  • Préparer la maison avant de partir pour éviter le tsunami en rentrant…
  • Prendre des billets d’avion modifiables, car comme dans n’importe quelle grossesse, les imprévus peuvent arriver.
  • Ne pas emporter sa maison quand bébé arrive. On peut acheter sur place, ça évitera beaucoup de pyjamas jamais portés faute d’être à la bonne taille…

 

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Handicap, Trisomie 21, Enfant atteint de trisomie 21

EPISODE 48 : ILARIA, UNE HISTOIRE DE CHROMOSOME EN PLUS

Il y a des scénarios insoupçonnables, qui bouleversent votre vie en quelques minutes. Des scénarios qui donnent des perspectives bien différentes de ce que vous aviez anticipé. Découvrir le handicap de son bébé le jour de sa naissance en fait partie… Surtout quand « à priori » ce handicap est décelable in utero, on tombe de très très haut. Le jour où Ilaria a accouché de sa deuxième fille, elle a tout de suite senti qu’il y avait quelque chose de différent.

 

Enfant atteint de trisomie 21 : apprendre à vivre avec…

Et puis lorsqu’on lui a annoncé une suspicion de Trisomie 21, le sol s’est dérobé sous ses pieds. Une anomalie chromosomique congénitale. Comment avait-on pu passer à côté de ce chromosome en plus ? Pourquoi ne lui avait-on pas prescrit une amniocentèse ? Comment était-il possible que de telles naissances surprennent encore en 2016 ? Autant de questions qu’il était légitime de se poser, mais qui ne changeraient plus rien au bouleversement qu’elle était en train de vivre. Alors après le temps de la colère, a commencé celui de l’acceptation. Découvrir le handicap, le digérer, l’apprivoiser, vivre avec et se prendre au passage un énorme shoot d’amour inconditionnel.

L’Insta d’Ilaria : @ilariabeatricecasati

LES TEN TIPS D’ILARIA

  • Pas de perfection, beaucoup d’imperfections.
  • Se marrer, vous êtes une mère pas une instit !
  • Se partager les tâches. Les enfants se font à deux.
  • Avoir une bonne relation avec sa mère et sa belle-mère. Toujours pratique pour leur confier les enfants à la dernière minute.
  • Une bonne baby-sitter, pour s’octroyer des moments en amoureux.Un shampooing sec. Le Graal quand ils sont nourrissons.
  • Dans votre sac à main, une collection de tétines.
  • Un porte-bébé. C’est juste magique pour les calmer…
  • Laisser pleurer bébé. Quelques minutes de pleurs ne font pas de mal.
  • Une bonne dose de confiance en soi. C’est votre enfant, suivez votre instinct !
  • Écoutez Bliss-Stories évidemment !

 

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Vie pro et vie perso, Allaitement, Retour au Travail, Retour à la vie normalee

EPISODE 47 : INÈS, C’EST TROP DUR DE RETOURNER TRAVAILLER !

Après la folle aventure d’une grossesse et d’un accouchement, suivi de la période plus ou moins bénie du congé maternité… Il existe encore un moment charnière dans la vie d’une jeune maman : celui de la reprise du travail. Parfois attendu, mais le plus souvent redouté, il est ce moment où l’on sort de sa bulle pour un retour à la vie normale. Sauf que dans la vie d’avance “normale”, on n’avait pas cette si petite personne qui prend une si grande place dans notre vie.

 

Quand le retour à la vie normale est difficile…

 

Quand Inès, a dû retourner travailler 10 semaines après l’accouchement de sa fille, elle a trouvé ça dur. Dur de ne plus l’avoir près d’elle toute la journée, dur de faire le deuil d’un allaitement qu’elle aurait adoré prolonger, et dur de ne pas se sentir comprise par ses collaborateurs. Ce tiraillement est malheureusement vécu par beaucoup -trop- de femmes encore aujourd’hui. Certaines, comme Inès, auraient bien besoin d’un congé plus conséquent ou d’un environnement professionnel plus adapté. Pour se sentir prêtes à repartir sereinement dans le monde du travail. Je laisse donc Inès vous raconter son expérience et comment elle a réussi à transformer cette épreuve en force pour se construire une vie professionnelle mieux alignée avec sa vie personnelle.

 

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L’Insta d’Inès : @inesndn
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