Bliss Stories avec le témoignage d'Alice, Pour le meilleur et pour le pire, partie 1.

EP192 – ALICE, POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE #1

La genèse de l’emprise

Il y a des rencontres que la vie n’aurait peut-être pas dû mettre sur notre chemin. Des alliances que l’on sait vouées à l’échec, mais dans lesquelles on fonce, sans contrôler grand-chose, comme aspirées par la certitude de l’autre. Il y a des histoires dont on voudrait s’échapper mais dont les liens sont trop difficiles à délier. Souvent l’explication tient en un mot : emprise. C’est un mot qui raconte la domination physique, morale, intellectuelle, ou relationnelle…  

L’emprise dont Alice a été victime pendant 15 ans coche toutes les cases : totalitaire, tétanisante et isolante, elle anesthésie insidieusement tout son libre arbitre dès le jour où, à 16 ans, elle fait la rencontre glaçante d’un homme aussi mystérieux que fascinant. Il l’impressionne, la nourrit de livres, revoit sa culture philosophique et théologique, et prend de plus en plus de place dans sa vie, l’entraînant dans une relation d’abord platonique, mais déjà sombre, et faisant s’évaporer toute son innocence et ses ambitions. 

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Comment tout peut basculer

Mais par quel sortilège, une jeune-femme que rien ne prédestinait à une telle soumission en arrive-t-elle à se laisser hypnotiser par un homme qui prend le contrôle total de sa vie ? Comment survit-on ensuite dans la froideur d’un foyer dirigé par des principes sectaires et oppressifs ? Comment peut-on, malgré la violence psychologique, réussir à embrasser son rôle de mère ? Et où trouver le courage de se lever chaque matin la boule au ventre, quand dans son ventre on abrite la vie… 6 fois de suite ? 

S’unir à la mauvaise personne

L’histoire d’Alice est de celles qui vous retournent les tripes de colère, parce que ça aurait pu être la nôtre. Comprendre l’envergure de la toile qui s’est tissée autour d’elle demande un certain temps d’écoute et le récit de beaucoup de détails… qui n’en sont pas. Alors dans la première partie de cet épisode de Bliss Stories, Alice va vous raconter la genèse… avant la bascule. Vous comprendrez comment l’ombre de ce prétendant moyenâgeux a peu-à-peu éteint sa lumière, et comment il a jeté sur elle un dévolu non-négociable, la projetant sans qu’elle ne puisse rien y faire, dans une vie de mère de famille dévouée soumise à un joug religieux terrifiant. 

Aujourd’hui, et au lendemain de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, vous entendrez le premier volet de ce bouleversant parcours de mère, avant de plonger la semaine prochaine, encore plus profond dans l’emprise, pour découvrir comment Alice a décidé de la combattre pour elle et pour ses enfants, et comment elle a finalement réussi, après des années de silence, à s’en libérer.  

Tous les prénoms de cet épisode ont été modifiés pour protéger mon invitée et sa famille, et je vous recommande, en toute bienveillance, de l’écouter dans les meilleures conditions pour vous, en étant vigilant.es sur ce que cette histoire peut déclencher, selon votre parcours personnel.  

3919 : c’est le numéro de la plateforme d’écoute accessible 24h/24 pour les victimes de violences conjugales, sexistes et sexuelles.  

Bliss Stories avec le témoignage de Marine, Jeune & Mommy.

EP191 – MARINE, JEUNE & MOMMY

Tomber enceinte à 20 ans.

À 20 ans, on accueille notre avenir les bras grands ouverts et tout semble possible. Tout, sauf peut-être sortir de cette jeunesse insouciante en devant subir une IVG traumatisante. Marine a 20 ans à l’époque, et cet événement la coupe dans son élan et la projette brutalement dans un monde où la maternité est teintée de sang, de douleur et de tristesse. Elle décide alors, sur un coup de tête, de mettre de la distance entre elle et sa souffrance, plus exactement 10 000 kilomètres, en s’envolant pour (s’)oublier à l’autre bout du monde.

Mais, c’est parfois dans la fuite que l’on rencontre son destin et, pour Marine, il a les traits de Chakib qui illuminent son voyage vers l’oubli. Un mois plus tard, et de retour à Paris, elle est amoureuse, heureuse mais, malgré sa contraception, elle le sent : elle est enceinte, encore. Sauf que cette fois-ci, c’est le bon moment : elle est prête à devenir maman.   

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Jeunesse et grossesse : subir les préjugés.

Mais être enceinte à 20 ans, c’est surtout se confronter aux préjugés rageants de ceux qui nous pensent “trop jeunes” pour savoir, pour comprendre, pour être aptes. Alors, comment s’imposer lorsque nos intuitions de mère nous brûlent les tripes mais sont balayées d’un revers de main par le corps médical ? Comment garder confiance en son instinct quand personne ne daigne nous prendre au sérieux ? Et comment construire un couple qui vient à peine de voir le jour mais qui se confronte déjà à la réalité de la parentalité… avec deux enfants rapprochés ?  

Il n’y a pas d’âge pour devenir mère

Dans ce nouvel épisode de Bliss Stories, Marine revient sur les mille et une nuits de son entrée bouleversante dans la maternité, rythmée par la découverte de la néonat, d’une péridurale inévitable, d’une grossesse qui n’aboutit pas, d’endométriose, d’un accouchement physiologique inattendu, de baby clash, mais surtout de beaucoup d’amour. Elle vous prouvera aussi qu’il n’y a pas d’âge pour écouter et croire ce qu’une mère ressent dans sa chair et dans son cœur, qu’il n’y a pas d’âge pour se faire confiance… Parce qu’à 20 ans, décidément : rien n’est impossible. 

Le compte Instagram de Marine : @marinefaure

Bliss Vanity, la trousse de survie pour après l'accouchement
Bliss Vanity, la trousse de survie pour après l’accouchement
Bliss Stories avec le témoignage de Manon Laime, S'accrocher au bonheur.

EP190 – MANON LAIME, S’ACCROCHER AU BONHEUR

Manon Laime et son “rainbow baby”

Quand Manon Laime et Clémentine se sont dit “au revoir” après avoir enregistré l’épisode 75, Manon avait dit à Clémentine : “la foudre ne frappera pas deux fois au même endroit”. À l’époque, elle venait de lui raconter le décès de son premier bébé, à 9 mois de grossesse…

Mais malgré l’épreuve inimaginable du deuil périnatal, Manon n’a jamais cessé de vouloir remplir à nouveau son ventre vide. Et, très vite, la vie s’y est à nouveau nichée. Une façon de conjurer le sort et de ne pas laisser la douleur gagner. Sa deuxième grossesse ne ressemble en rien à la première. Manon se laisse porter par les signes pour se rassurer et mettre au monde un enfant bien vivant.  

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Être encore en deuil d’un premier bébé durant le post-partum d’une deuxième grossesse

Mais le cœur et le corps sont toujours plein de surprises. Malgré la joie d’accueillir sa jolie Roma, Manon Laime n’a pas présagé des sentiments qui l’ont submergée, après. Et, à la fois, comment anticiper un post-partum alors qu’on est toujours en deuil ? Ensuite quelles ressources trouver pour tenir à distance la culpabilité qui s’empare d’un cœur de maman vide et plein à la fois ? Et enfin comment s’attacher à une petite fille si parfaite qu’on a le sentiment de ne pas la mériter ?   

Deuil périnatal et nouvelles grossesses : les sentiments contradictoires

Dans ce nouvel épisode de Bliss Stories, Manon nous raconte donc la vie après l’envol de son premier bébé et la suite de cette maternité tant espérée. Elle partage avec nous tous les sentiments contradictoires qui l’ont traversée pendant ses deux grossesses enchaînées en deux ans. Et puis Manon nous dit combien ses filles portent en elles la combativité, et à quel point il ne faut jamais, jamais, cesser de s’accrocher au bonheur.

Le compte Instagram de Manon Laime : @manonlaime

Bliss Vanity, la trousse de survie pour après l'accouchement
Bliss Vanity, la trousse de survie pour après l’accouchement
Bliss Stories avec le témoignage de Sophie, Tout va bien se passer

EP189 – SOPHIE ASTRABIE, TOUT VA BIEN SE PASSER

Un mantra pour la vie

Si on vous dit : “J’irai au bout de mes rêves”, vous pensez immédiatement à Jean-Jacques et son refrain mythique, non ?! Et désormais vous pourrez aussi à penser à l’histoire de Sophie Astrabie qui a appliqué ce mantra à sa vie. Elle s’est également accroché à une conviction profonde qui devrait d’ailleurs toutes nous habiter : “tout va bien se passer”.

La maternité nous vole-t-elle notre liberté ?

“Tout va bien se passer”, c’est ce que Sophie se dit lorsqu’elle tente de devenir joueuse professionnelle de basket, puis quand elle file en Angleterre pour sa passion pour la langue de Shakespeare. Ou encore quand elle démissionne de son emploi de journaliste, à 25 ans, pour écrire des livres. Parce qu’être libre de vivre sa vie comme elle le souhaite, c’est juste fondamental pour elle.  

Lorsqu’un frémissement de succès se fait sentir, il n’arrive pas seul puisque dans le ventre de Sophie grandit la vie. Et cette grossesse va tout remettre en question. Car si l’écriture est une évidence, la maternité l’est beaucoup moins. 

Alors comment retrouver une liberté qui nous est si chère quand on a la douloureuse impression que la maternité va nous l’enlever ?  

Quand l’écriture répare…

Dans ce nouvel épisode de Bliss Stories, Sophie Astrabie va vous raconter l’histoire d’un premier bébé qui chamboule tout et d’un second qui remet les choses en place. Vous comprendrez de quelle manière l’écriture l’a aidée à embrasser son rôle de mère et à se réconcilier avec sa maternité. Et finalement comment celle-ci l’a poussée à se réinventer pour réaliser les rêves de sa vie : vivre de ses romans et s’accomplir librement en tant que femme, autrice et maman. Parce que oui, quand on y croit très fort : tout finit souvent par bien se passer…

Le compte Instagram de Sophie : @sophieastrabie

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