Clara, ma césarienne de confort. Episode 174 de Bliss Stories

EP174- CLARA, MA CÉSARIENNE “DE CONFORT”

Faut-il souffrir pour être mère ?

Qui a déterminé qu’il fallait souffrir pour mettre au monde son enfant ? La première fois que Clémentine s’est posé la question, c’était en 2019, en lisant un article de L’express sur Caroline Receveur qui venait de donner naissance à son fils Marlon par césarienne “de convenance”. Deux choses l’ont alors interpellée au sujet de cette césarienne dite aussi “de confort”. La première, c’était son appellation : en quoi peut-on la qualifier de “confort” pour la mère quand on sait la douleur post-partum et l’inconfort justement que la cicatrice peut provoquer lors des suites de couche ? Et la seconde portait sur l’invisibilité de ce choix et de celles qui décident d’accoucher autrement que par voie basse. Pourquoi ignorer cette possibilité au point de ne pas la faire rembourser par la sécurité sociale, alors qu’elle a la vertu de soulager la trajectoire de certaines mères ?   

Douter de son corps et choisir la césarienne de confort

Quand Clara rencontre Alfred, elle voit en lui son âme sœur pour ne pas dire son double au masculin. Ils pensent et aspirent aux mêmes choses, et même si ça en est parfois troublant, elle se laisse emporter par cette histoire d’amour qui va rapidement lui faire vivre le plus “grand choc de tous les temps”, celui d’être parent. Mais avant ça, elle connaîtra une grossesse façon “montagnes russes”, qui mettra à l’épreuve sa confiance en elle et la fera douter de la capacité de son corps à mettre au monde. Car comment faire confiance à un corps qu’on sent défaillant et qui a passé 9 mois sous surveillance ? Comment envisager qu’il supporte la puissance d’un accouchement ?

La césarienne de confort, ce tabou de la maternité

Dans ce nouvel épisode de bliss.stories, Clara vous racontera donc les examens qui s’enchaînent, avec la peur au ventre qu’une mauvaise nouvelle tombe, son décollement du placenta et ces 9 mois de grossesse fatigants, qui vont progressivement l’amener vers le choix d’une césarienne de confort. Elle vous dira tout de ce parcours encore tabou et assez protocolaire pour ne pas dire dissuasif pour celles qui s’y projettent sans convictions. Mais pour rien au monde Clara n’aurait fait autrement, elle qui a pu vivre un accouchement royal après le stress de sa grossesse, et même improviser un allaitement qui lui a prouvé toute la richesse de son corps de maman.

Le compte Insta de Clara : @claravictoriaaa

Kym Renom, vivre une pré-éclampsie. Episode 173 de Bliss Stories

EP173- RYM RENOM, VIVRE UNE PRÉ-ÉCLAMPSIE

Rym Renom et Vincent : l’amour au premier regard

Cette fois, Clémentine vous entraîne avec elle dans un monde qu’elle a bien connu. Il s’agit du monde de la télé-réalité. Un monde qui promet à certaines de vivre un véritable conte de fées en les transformant, le temps d’un tournage, en princesses des temps modernes et de rencontrer le grand amour… Ce genre d’histoire fait rêver. Mais, nous, ce qu’on aime encore plus, c’est l’envers du décor évidemment ! Une fois que les caméras sont éteintes et que la vraie réalité commence… Clémentine a donc rencontré Rym Renom, l’une de ces princesses des temps modernes, qui a bien voulu lui conter les coulisses de son coup de foudre avec Vincent, il y a 2 ans, sur le tournage de “La Villa des Cœurs Brisés”…

Rym Renom, 2 bébés et 1 pré-éclampsie en 2 ans

Après le coup de foudre suivront deux ans d’amour intense, pendant lesquels la vie de Rym a radicalement changé. Car en deux ans, elle a fabriqué deux bébés qui ont légèrement bousculé les plans de sa lune de miel, mais qui ont eu le mérite de l’ancrer à nouveau dans quelque chose de concret. Parce que quand on est au cœur d’un conte de fées, on ne s’attend pas forcément à ce que tout bascule. Mais la vie n’est pas une production télé et les épisodes ne s’enchaînent pas forcément en suivant à un scénario tout tracé… Alors après une première grossesse idyllique, Rym tombe de très haut quand on lui diagnostique un sérieux risque de pré-éclampsie pour la seconde…

Car la pré-éclampsie est une maladie sournoise, qui résulte d’un dysfonctionnement du placenta et qui peut laisser planer son ombre au-dessus d’une grossesse, et la faire virer au drame, à tout moment. C’est en tout cas ce qu’a vécu Rym, tout en refusant de se laisser guider par la peur et les mauvais présages. 

Savoir s’écouter

Parce que Rym est une instinctive, une positive, et une femme née pour être mère, elle ne s’est jamais laissée dicter ses choix. Dans ce nouvel épisode de bliss.stories, Clémentine vous propose donc de passer de la télé-réalité à la réalité, avec une femme forte et un “happy end” comme on les aime, et qui nous rappelle à quel point il faut s’écouter, soi. 

Le compte Insta de Rym : @rymrenom

L’association de mamans touchées par la pré-éclampsie/éclampsie : @grossesse_sante

Kelly Rangama, mes victoires contre l'endométriose. Episode 172 de Bliss Stories

EP172- KELLY RANGAMA, MES VICTOIRES CONTRE L’ENDOMÉTRIOSE

10 ans d’attente

Certaines femmes ont dans le regard une énergie, une combativité et une force incroyable. Quelque chose de puissant qu’on perçoit immédiatement, quelque chose qu’on ne s’explique pas mais qui est là, et qui nous fait penser qu’elles ne baisseront jamais les bras. Aujourd’hui c’est la voix de l’une d’entre elles que j’ai enregistré… en deux fois (décidément en ce moment j’aime les challenges). Quand je la rencontre pour la première fois, elle est enceinte de 6 mois et a encore du mal à croire à ce petit miracle qui grandit en elle et qu’elle a espéré pendant 10 ans. 10 ans d’espoirs donc, mais surtout 10 ans de lutte contre une endométriose pelvienne profonde, maladie chronique et vicieuse, qui la plie en deux tous les mois, et qui a atteint un de ses reins avant de s’attaquer à un de ses poumons. 

Vivre avec une endométriose pelvienne profonde

De traitements récurrents en opérations lourdes qui affectent les parties les plus intimes de son être, Kelly aurait eu mille raisons de s’effondrer plus d’une fois. Mais sa force de vie a été plus puissante que la douleur, et elle n’a jamais permis à sa maladie de décider pour elle. Alors à tout juste 30 ans, cheffe de son propre restaurant, Kelly va obtenir une étoile et devenir la première femme réunionnaise à décrocher cette distinction. Et comme parfois les planètes finissent par s’aligner, Kelly tombe enceinte, et une grossesse inespérée succède à l’étoile.

La vie plus forte que la maladie  

Dans ce nouvel épisode de bliss.stories, Kelly nous racontera donc cette décennie de douleur, de combats et d’opérations, de son insouciance volée, de cette sonde urinaire qu’elle a appris à dompter, de sa brillante carrière qui ne s’est pas faite sans sacrifices, et de cette grossesse confinée avant une césarienne programmée dont elle est sortie traumatisée. Kelly nous dévoilera aussi son organisation au cordeau, complètement épuisante mais indispensable pour tout mener de front et réussir à concilier son restaurant et son bébé: ses deux plus belles victoires contre une maladie qui n’empêchera jamais sa belle étoile de briller. 

Les comptes Insta de Kelly : @kellyrangama

EP171- NICOLE ET SOPHIE, DONNER LA VIE

GPA : le don d’une femme pour une autre femme 

Une fois n’est pas coutume, c’est en deux langues et avec deux micros que Clémentine vous fait découvrir le destin hors du commun de deux femmes qui n’avaient à priori aucune raison d’unir leurs trajectoires. Car il y a encore quelques années, Nicole et Sophie ne se connaissaient pas, elles ne vivaient même pas sur le même continent, et étaient bien loin de s’imaginer que la maternité de l’une allait dépendre du don précieux de l’autre, pour un parcours de GPA en Belgique.

Naître sans utérus

Quand Sophie découvre qu’elle est née sans utérus, elle n’a que 10 ans et, déjà, elle sait au fond d’elle même, qu’elle n’aura pas d’enfant biologique. Alors plus tard, avec son mari, elle se tourne rapidement vers la possibilité d’une GPA aux USA et rencontre enfin Nicole, qui est prête à leur faire le plus beau cadeau du monde. 

Malheureusement, même un parcours aussi balisé que la GPA n’échappe pas à un possible échec… Alors comment continuer un parcours GPA quand le don d’ovocytes atteint sa limite ? Et qui sont ces femmes qui font don d’elle-même pour permettre à une autre de devenir mère?

Don d’ovocytes et GPA en Belgique  

Dans ce nouvel épisode de bliss.stories, Sophie et Nicole nous racontent ce qui les a menées l’une et l’autre à la GPA, les procédures, les sacrifices et l’attente parfois insoutenable. Elles nous diront aussi les défaites qui anéantissent mais soudent les liens. Vous entendrez aussi comment elles ont pu aller au bout de leur projet GPA grâce à l’intervention incroyable et inespérée d’une amie de Sophie qui fera tout basculer… comme si tout était écrit d’avance pour s’imbriquer à la perfection, et que de cette alliance sacrée de femmes ne pouvait naître qu’un bébé. 

Les comptes Insta de Sophie et Nicole : @sakiparty & @urbanorganics_veganbeauty

Le site de l’Association C.L.A.R.A est ICI

Anna Roy, sage-femme plus que tout. Episode 170 de Bliss Stories

EP170- ANNA ROY, SAGE-FEMME PLUS QUE TOUT

Anna Roy et Bliss, une longue histoire d’admiration 

Difficile (pour ne pas dire impossible) de présenter Anna Roy en quelques mots. D’abord, Clémentine l’a découverte depuis son écran de télévision, comme sage-femme et chroniqueuse. Ensuite, elles ont échangé sur les réseaux sociaux avant de, timidement, se voir “dans la vraie vie”. Chacune allant vers l’autre, animée par une passion identique pour la maternité et des combats communs pour les femmes. Et puis, Clémentine a eu envie de l’avoir à ses côtés sur la scène du Trianon en mars dernier. Elle lui a laissé carte blanche et son intervention a été mémorable avec une standing ovation, tellement méritée.

Percer le mystère de la Joconde

Évidemment, il était temps qu’elle passe du côté de chez bliss pour accoucher de son histoire, elle qui en accouche tant, depuis si longtemps.

Anna Roy, la fille, la femme, la sage-femme, la mère, la débordante, la débordée, la fragile, la puissante, la “sur-le-fil”, la colosse aux pieds d’argile… Cette Anna là a tout raconté à Clémentine. OUI, pour la première fois de sa vie, elle a baissé sa garde, et c’est un honneur de porter son histoire à vos oreilles.

De l’intensité du métier de sage-femme 

Parce que tout aussi étonnant que cela puisse sembler, être sage-femme ne rend pas la maternité plus simple, d’autant plus quand on s’investit sans aucune limite. Quand on est à 300% avec ses patientes, tout le temps, quitte à s’oublier et à morfler.
Dans ce nouvel épisode de bliss.stories, Anna Roy nous dira tout sur sa famille, ses amours, ses grossesses, son métier, sa passion, son engagement, ses doutes et ses blessures… Oui, cet épisode est à l’image d’Anna : généreux, drôle, brut de décoffrage et incroyablement émouvant. Alors, accrochez vos cœurs à vos corps, et préparez-vous à l’aimer, si ce n’est déjà le cas !

Le compte Insta d’Anna Roy: @_anna.roy_

Pour acheter son dernier livre : ANNÉE ZÉRO

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