Chloé, mal de mère. Episode 150 de Bliss Stories, premier podcast sur la maternité sans filtre.

EP150 – CHLOÉ, MAL DE MÈRES

La dépression post-partum, le mal du quatrième trimestre

On ne pouvait pas consacrer un mois entier au quatrième trimestre, sans parler de la dépression post-partum, la DPP comme on la nomme dans la jargon. Un mal dont on parle un peu plus mais qui fait toujours autant de victimes. En effet, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Cette pathologie touche entre 15 à 30% des mères quand le suicide, lui, a été identifié comme la deuxième cause de mortalité maternelle. 

Une naissance de laquelle surgit le passé

Quand Chloé tombe enceinte, devenir mère ne lui fait pas peur. Elle est l’infirmière réanimatrice en néonat. Du coup, elle connaît les tout-petits et les émotions qui accompagnent une naissance. Pourtant, au moment où elle plonge ses yeux dans ceux de sa petite Mélody, elle sait que sa fille va tout bouleverser. Avec cette naissance, elle replonge dans sa propre enfance passée auprès d’une mère mal aimante. Désormais, elle sait que plus rien ne sera simple.

Les signes de la dépression post-partum

D’abord Chloé sombre doucement dans un enfer silencieux. Puis il y a les pleurs incessants et les idées noires qu’elle tente de combattre pendant deux années qui lui paraissent interminables. Elle se sent seule. Personne ne peut mettre de mots sur ses maux. Finalement, c’est en se documentant qu’elle découvre des témoignages de mères avec des parcours similaires. Elle sort alors de son isolement et de sa solitude.
Depuis, Chloé a choisi de faire de “ce truc pourri”, quelque chose de vivant. Elle nous raconte donc sa trajectoire de mère abîmée puis réparée qui cherche à faire bouger les lignes.

Le compte Insta de Chloé : @mal_de_meres

L’association “Maman blues”: le site de la difficulté maternelle

L’appli des 1000 jours

Sarah, apprendre à lâcher prise - Bliss

EP149 – SARAH, APPRENDRE À LÂCHER PRISE

Le lâcher prise, ami ou ennemi du post-partum?

On est toutes un peu control freaks, allez, avouez-le… On aime bien gérer, organiser. On adore que les choses se fassent à NOTRE façon. Or, pendant le post-partum, on n’a plus vraiment la main sur rien. Alors, comment faire ?
Dans ce mois consacré à l’exploration du post-partum, je trouvais intéressant de discuter avec quelqu’un qui déteste l’improvisation et pour qui le fameux lâcher prise est totalement inconnu.

Quand le corps n’obéit plus

Quand Sarah tombe enceinte, ses premiers pas dans la maternité démarrent par une fausse couche précoce. Un premier bug dans une matrice qui jusqu’ici ne connaissait pas les surprises. La désobéissance de son corps a donc été le premier maillon d’un enchaînement d’imperfections qu’il a pourtant fallu accepter. 

Et puis une deuxième grossesse démarre, avec la peur de perdre ce nouveau bébé à venir. D’abord Sarah pense reprendre le contrôle des opérations après la naissance de son fils. Mais elle ignore encore le tsunami qu’engendre l’arrivée d’un bébé, même pour une fille organisée comme elle. Malgré l’aide de sa mère, Sarah comprend qu’elle perd pied, et que ses larmes quotidiennes sont loin d’être normales. 

S’incliner devant plus fort que soi

Il lui faudra le déclic d’un soin rebozo complètement magique pour que son cœur de jeune maman se reconnecte à ses priorités. Enfin elle accepte de se laisser submerger pour mieux surfer sur cette nouvelle vague d’amour et cesser de courir après une perfection chimérique.
Si vous êtes, vous aussi, en train de vous épuiser à essayer de tout contrôler, cet épisode sur le lâcher prise devrait vous parler. 

Le compte Insta de Sarah : @therecklesscat

Juliette, coucou le post-partum - Bliss

EP148 – JULIETTE, COUCOU LE POST-PARTUM !

Coucou les girls : tout dire ou ne pas tout dire sur les réseaux ?

Certaines filles documentent pas mal leur vie sur les réseaux sociaux. Alors forcément on a l’impression de connaître tous leurs grands moments et les combats qu’elles portent. Et puis certaines filles donnent envie d’aller encore plus loin, parce qu’elles en disent tellement qu’elles ne disent forcément pas tout ! Juliette de Coucou les girls en fait partie…

Quand elle découvert Juliette, alias Coucou les girls, Clémentine est happée par son charisme et son “no filter” à toute épreuve. Ses monologues sont à la fois drôles et déculpabilisants. Alors quand elle a annoncé sa grossesse et a continué de nous partager son quotidien de femme enceinte, évidemment elle a eu envie d’avoir un récit complet, et surtout, surtout, de connaître l’après. 

La face cachée de la grossesse

Avec sa voix grave et son rire éclatant, Juliette de Coucou les girls nous dit comment elle a vécu cette période si sensible du post-partum. Au micro de Clémentine, elle a donc accepté de se souvenir des belles et des moins belles choses qu’elle vient de traverser. Sa peur panique de l’accouchement, son diabète gestationnel bien relou, son accouchement instrumentalisé, et enfin ce post-partum vertigineux, douloureux, handicapant, bouleversant. 

Le pire et le meilleur du post-partum

“Le post-partum, c’est le plus dur mais c’est le mieux aussi”, comme dit Juliette. Alors pour ouvrir ce mois de novembre consacré à ce temps du post-partum, on donne la parole à Juliette qui vous raconte ce qui a suivi le plus beau jour de sa vie.

Le compte Insta de Juliette: @coucoulesgirls

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