C’est fou comme nous sommes conditionnées par des normes sociétales et familiales qui peuvent devenir tellement pressurisantes… Aujourd’hui, décider de n’avoir qu’un seul enfant peut sembler étrange…
Un seul enfant, un seul !
Pourquoi ? Pourquoi ne pas se satisfaire de regarder une mère heureuse avec son enfant sans lui demander si elle pense au prochain ? Sur les réseaux sociaux, un ventre rond est le meilleur accessoire de mode. Et la tribu d’enfants deviendrait presque un signe ostentatoire de réussite de sa vie de famille. Alors comment résister ? Et affirmer que pour soi, un seul enfant c’est déjà pas mal, et qu’en fait on est au complet comme ça. Mathilde fait partie de cette catégorie de mères qui ont décidé d’avoir un enfant unique, et elle le revendique. Elle en a assez de devoir sans cesse se justifier. Il était donc évident qu’il fallait lui donner la parole je vous laisse donc écouter son histoire, de maternité.
LES TEN TIPS DE MATHILDE
- S’accorder un vrai congé maternité avant !
Et ne pas se dire : “je prends moins avant pour avoir plus de temps après”. Ce que j’ai fait, et moralité je n’ai absolument pas pu me reposer ou profiter de ces derniers moments pour moi puisque j’ai accouché avec 3 semaines d’avance …
- Préparer l’arrivée du bébé
Vrai conseil pratique ! Préparer et congeler un stock de repas pour les premières semaines après l’arrivée de bébé.
- Oser s’imposer à la maternité
Ce n’est pas parce qu’on accouche pour la première fois qu’on ne mérite pas d’être écoutée !
- Ne pas être trop dure avec son corps post-partum
Promis, au bout d’un certain temps on perd tout, vu qu’on a plus le temps de rien, ni même de manger (et plus de stock au congélo) !
- Dormir quand ils dorment
Tant pis pour le ménage …
- Ecouter son instinct !
Surtout quand on ressent que son enfant a un problème.
- Continuer à avoir une activité physique pendant la grossesse
Marche, natation, yoga … Toute activité qui permettra d’être physiquement préparée au combat qui nous attend.
- Inclure le conjoint
Et aussi dans l’allaitement. Il ne faut pas considérer qu’on sait mieux que lui ce dont notre enfant a besoin.
- Ne pas poursuivre l’allaitement si l’on sent qu’il est compliqué ou douloureux
Mieux vaut un bébé heureux au biberon qu’un bébé malheureux au sein (bien entendu si l’allaitement fonctionne et satisfait tout le monde c’est le jackpot !)
- Continuer à avoir une vie sociale
Aller au restaurant ou partir en voyage…
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