#135 Florent, nos jumeaux nés par GPA

Gestation pour autrui, j’écris ton nom

Elle est codifiée, discutée, débattue, défendue ou rejetée en bloc… Oui, la GPA, gestation pour autrui, attise les foudres et les passions. Mais, quoi qu’on en dise, son existence permet à des milliers de couples, homosexuels ou hétérosexuels, d’accéder à la parentalité. Mais avant ce bonheur immense, ces couples combatifs doivent trouver l’équipe médicale ainsi que les femmes, donneuse et porteuse. Que des inconnues qui entrent dans l’équation de cette gestation pour autrui.

Le chemin vers une parentalité “presque” comme les autres

Alors comment fait-on aujourd’hui quand on est deux hommes qui s’aiment et qui veulent être papas ? Comment comprendre les rouages de la machine GPA ? Et quand, en plus, on aimerait 2 bébés d’un coup, quelles sont les possibilités pour concevoir des petits jumeaux à l’étranger ?  

L’histoire de Florent et Nico pourrait être celle de centaines d’autres couples ayant eu recours à la gestation pour autrui, à cela près que cette histoire raconte comment 2 hommes ont rencontré deux femmes exceptionnelles. La première acceptant de donner ses ovocytes en levant l’anonymat. La seconde acceptant de porter 2 bébés d’un coup, renonçant ainsi aux accouchements physiologiques qu’elle avait toujours vécus. 

Le modèle américain 

La GPA aux Etats-Unis est un autre monde. Un monde où dans certains états les humains “font famille” différemment et où les gamètes et les utérus sont mis au service de ceux qui n’en ont pas. Aux USA, deux hommes qui se baladent dans la rue avec leurs bébés, sont considérés comme un couple banal. Là-bas, la bienveillance et les sourires pour ces familles sont monnaie courante. Je vous jure, ça donnerait presque envie de vivre à Portland…

Dans ce nouvel épisode de Bliss Stories, Florent nous raconte l’histoire exaltante et passionnante de l’arrivée d’Ella et César, ses twins nés par GPA aux USA. 

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