Une maternité expatriée
Devenir mère c’est forcément faire face à une multitude de nouveaux défis, notamment apprendre à jongler entre une vie de famille toute neuve et une carrière épanouissante. Pour Julie, le défi s’est corsé à l’arrivée de son troisième bébé, seul petit américain de la famille, fabriqué à New-York, où, après des années d’expatriation à Hong-Kong, elle manquait un peu de repères…
Accouchement inédit à New York
Car à Hong Kong, Julie avait une vie très carrée, raccord avec la culture locale, et a accueilli ses 2 premières filles à 18 mois d’écart avec un accouchement et un retour au travail hyper structurés, rapides et organisés, qui l’on empêchée de profiter pleinement de sa vie de mère. Avec son mari Karim, ils forment une véritable équipe parentale mais cela ne suffit pas, ils veulent changer de vie pour trouver leur nouvel équilibre familial ailleurs, et ce sera donc… à New-York, LA ville où tout parait à priori plus compliqué. Mais comme Julie aime les défis décidément, c’est au cœur de cette ville, en plein Covid qu’elle lancera son petit 3ème.
Mais alors comment vit-on une grossesse à l’étranger, avec un suivi à l’opposé de ses expériences passées ? Qu’est-ce qui peut déraper au point de se retrouver à quasiment accoucher sur la banquette arrière d’un yellowcab, escortée par la NYPD ? Et enfin comment une césarienne hyper bien vécue, peut être source de soulagement, et ramener une pleine confiance en la vie ?
Un petit troisième made in NYC
Dans cet épisode, Julie va vous raconter son accouchement et l’arrivée de son fils au cœur d’un New York en plein effervescence (c’est le cas de le dire…), elle vous parlera aussi de l’importance du lâcher prise, et de l’art de tout combiner en étant très bien entourée. Allez c’est parti pour l’ultime épisode de cette trilogie new-yorkaise. On est à Tribecca, downtown Manhattan, dans le quartier où vit et travaille Julie, qui m’accueille donc dans sa 2e maison : un bureau aussi chic et raffiné qu’elle, où elle s’apprête à me raconter son New-York à elle, aussi addictif qu’un bad boy dont on n’arriverait pas à se défaire.
